Comme nous tu frappes tes peaux
Et tu grattes tes cordes
Tu aboies dans ton micro
Comme les chiens qui mordent
Sans tre un virtuose,
Tu t’dbrouilles assez bien
Tu sais qu’c’est ceux qui osent
Que demain appartient
Tu as la nuit, la rage et la rue
La force et l’nergie des espoirs dus
Tu rves d’artistes libres
Qui savent encore crer
Des musiques qui enivrent
Les sauvages de ta cit
Comme nous tu avais cru
A l’unit d’une scne
Mais ce rve s’est perdu,
C’est toujours la mme rengaine
Comptition, jalousie
Sapent le moral et tuent l’esprit
La promotion vreuse
Rend l’industrie dangereuse
La «musique-produit»» n’a pas d’intrt
Cru